Le mensonge.

Le mensonge et le non-dit

 

Comment devient-on menteur?

 Comment vivre avec le mensonge et un menteur?

Comment peut-on aimer un menteur.

Comment peut-on être aimé par un menteur?

 

 

 

 

 

Le mensonge et le non-dit sont des stratégies de protections.

Tout être humain, par sur-vie,

 a utilisé cette stratégie

 dans sa vie pour sa survie.

 

 Pourquoi certains humains l’utilisent-ils

de façon chronique et régulière?

 

La résultante principale et première

de l’utilisation de la statégie du mensonge

et du non-dit  pour se protéger

est la diminution de la relation de confiance

envers nous-mêmes et envers  les autres. 

 

La confiance est une croyance et une attitude fondamentale

à la survie.

Elle ne peut-être conditionnelle avec des ‘’si’’

qui détruisent et scient cette confiance.

Seule une communication (commune-action)

est indispensable dans le respect de chacun.

Soit apprendre à dire vrai.

 

Dire vrai sera toujours difficile,

 ardu et douloureux,

car en acceptation d’une perte d’un soi-disant pouvoir

 sur soi en pensant que l’autre aimé

ou non

 pourrait nous contrôlé

par nos faiblesses, nos désirs, nos rêves

et nos pulsions.

On vit tous en quelque sorte dans des mensonges.

Comment survire?

 

Avec la vie on apprend le non-dit, dans le mensonge

il y a une forme de sommeil

et on se sent bien en s’endormant

 avec le silence des mots

en espérant ne pas faire de mal,

de peines et de douleurs.

 

Il sera toujours difficile d’être en colère

contre un menteur, car nous le sommes tous.

Une question parfois de survie.

 

Une mère ment, un père ment, un ami ment 

et une connaissance ment,

mais tous le font

pour permettre le possible à l’être aimé

de désirer, de souhaiter et de rêver.

  

Une mère ment par amour,

un père par désire de protection,

un ami

 par besoin de continuité

dans la durée d’une éternité non dit

par respect 

et enfin une connaissance

pour un rêve, un fantasme

et un désir de recommencement ou de renaissance.

 

Le mensonge lorsqu’on le connaît et le reconnait  

fera toujours douloureusement mal.

 Il est alors indispensable

de penser à ses propres mensonges et de réfléchir aux maux

 qu’on a faits en mentant

ou en ne sachant pas avoir la confiance des mots vrais.

 

Le mensonge c’est une peur

de dire vrai et de perdre,

 mais parfois il permet de gagner

et de faire perdurer.

 

Le mensonge c’est parfois beau,

car on veut taire

en appréciation du dentinaire.

C’est un indice d’amour.

 

Mentir tout au long de sa vie,

c’est tentez de mettre de côté

une partie de sa vie

dans la noirceur et l’oublie

 

  POUR MENTIR IL FAUT PAROIS ÊTRE

 EN FATIGUE

 D’AVOIR VOULU DIRE

SANS RÉCEPTION.

 

Mentir c’est ne pouvoir accepter dans le présent

les conséquences des non-dit.

Les mensonges seront toujours

une résultante

de nos passés et de nos pensées.

 

 Notre passé nous façonne

et nous construit dans notre présent

et nous permet d’identifier nos futurs

soit nos désirs,

 nos rêves et nos possibles.

 

Pour vivre avec un menteur et le mensonge

on n’a pas beaucoup de choix,

 il faut apprendre le mensonge,

soit le comprendre

et non le prendre pour l'apprendre.

 

Pour vivre avec un menteur

qui n’accepte pas d’être un menteur,

il faut chercher, découvrir

et créer des moyens

d’être vrai

avec soi.

 

Aimer un menteur

c’est croire à l’ultime besoin d’être aimé.

C’est la dévotion la plus profonde

en le possible de l’amour

et du dire vrais.

 

Aimer un menteur

c’est vouloir qu’il apprenne comme attitude à dire

 vrai à un seul possible,

soit devenir un modèle de ‘’directude’’

vrai

et qui est capable de faire flancher 

en expression vrai.

 

Pour être aimé par un menteur,

il faut être en souffrance,

en désire et en déception;

un menteur

ne peut aimer un homme vrai,

authentique

et aussi  en recherche

de

(communication.)(commune-action)

 

Il le recherchera toujours sans le trouver

Même coucher à côté de lui.

 

Je suis aussi un menteur

qui cherche en confiance à pouvoir dire vrai 

Charlesconrad.net

Bien cordialement,

Conrad Huard